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Il n’y aurait fallu que quelques heures à la gendarmerie pour mettre le grappin sur Kwami Ernest Adjadja et Amadou-Mande Abdoul Charif.
Les deux policiers, soupçonnés d’être impliqués dans le meurtre tragique d’une dame à Djarkpanga, sont désormais dans les mailles de la gendarmerie nationale. Leur arrestation est intervenue dans la nuit de jeudi à vendredi.
Les circonstances exactes du drame restent encore floues, mais les premiers éléments de l’enquête évoquent un différend ayant dégénéré, avec un usage présumé d’une arme à feu. La victime, dont l’identité n’a pas encore été rendue publique, aurait succombé à ses blessures peu après les faits.
Alertée par la population locale, la gendarmerie nationale a rapidement ouvert une enquête. Les deux policiers mis en cause ont été interpellés et placés en garde à vue. Ils devront répondre de leurs actes devant la justice si les faits sont avérés.
Des policiers intrigants
L’affaire suscite une vive émotion dans la commune de Djarkpanga et relance le débat sur les abus potentiels commis par certains agents des forces de l’ordre. Les autorités ont assuré que toute la lumière sera faite sur cette affaire et que justice sera rendue en toute impartialité.
